2 décembre 2009

CAPITALISM: A LOVE STORY



Le nouveau Michael Moore après Sicko, Farenheit 9/11, Bowling for Columbine, The Big One et Roger and me reste toujours très agréable à regarder entre les moments d'hilarités et les moments dramatiques. Descendu par le presse à l'unanimité pour son manque de rigueur, essayer plutôt de vous dire que c'est un point de vu documenté plus qu'un documentaire et vous respirerez mieux. Pour la leçon sur le capitalisme on repassera mais encore une fois Moore est le seul à nous offrir une synthèse et à nous présenter des images et des faits inédits; après chacun a assez d'esprit critique pour repérer les limites des exemples et des raisonnements de Moore. Le film est déjà un four il n'a fait que 70 000 entrées sur sa première semaine d'exploitation pourtant dans la salle pleine à craquer où je l'ai vu les gens ont applaudit à tout rompre.

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