Vincere de Marco Bellocchio à mon humble avis aurait pu récolter les Prix de la mise en scène et de la Meilleur interprétation féminine pour Giovanna Mezzogiorno au dernier festival de Cannes où il reparti bredouille et c'est bien dommage car le film n'a pas l'attention qu'il mérite.
Une histoire bouleversante: celle d'Ida Dalser maîtresse de Benito Mussolini dans les années 20 qui dévore d'une passion absolue l'homme qui deviendra plus tard le Duce. Reniée par celui ci elle se battra le restant de sa vie à faire reconnaître sa condition de femme de Mussolini et à faire reconnaitre son fils (ce qui ce fut). Mais contre la machine fasciste sa vie sera effacée et sa personne envoyée à l'asile, alors c'est David contre Goliath, c'est Kafka, un impossible combat contre l'administration. Un destin déchirant.
La mise en scène, elle, est grandiloquente faisant de la vie d'Ida Dalser un opéra tragique. Ici le pathos n'est pas pathétique et nous emporte complètement. Les tragédies mère/fils me chavire à coup sure une émotion semblable à Tout sur ma Mère ou L'Echange.
Une histoire bouleversante: celle d'Ida Dalser maîtresse de Benito Mussolini dans les années 20 qui dévore d'une passion absolue l'homme qui deviendra plus tard le Duce. Reniée par celui ci elle se battra le restant de sa vie à faire reconnaître sa condition de femme de Mussolini et à faire reconnaitre son fils (ce qui ce fut). Mais contre la machine fasciste sa vie sera effacée et sa personne envoyée à l'asile, alors c'est David contre Goliath, c'est Kafka, un impossible combat contre l'administration. Un destin déchirant.
La mise en scène, elle, est grandiloquente faisant de la vie d'Ida Dalser un opéra tragique. Ici le pathos n'est pas pathétique et nous emporte complètement. Les tragédies mère/fils me chavire à coup sure une émotion semblable à Tout sur ma Mère ou L'Echange.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire